Une collection de disques dans un Packster
15.11.2025 | Lifestyle & Arts
Marcel Puntheller est DJ, producteur et fondateur d’un label. Dans un rayon de 100 kilomètres autour de son domicile, c’est sur un vélo Cargo Riese & Müller qu’il part animer des soirées. Pour les événements plus lointains, il serait même prêt à prendre quelques jours de congés pour profiter du trajet à vélo.
Un marcheur avant tout
Il n’y a pas si longtemps, Marcel Puntheller aurait dit ne pas aimer le vélo. « De base, je suis un marcheur avant tout. Je me suis déjà rendu à pied de Heidelberg à Barcelone, et j’ai également traversé l’essentiel de l’Italie. » C’est par pur hasard, et grâce à son métier de DJ, que le vélo Cargo occupe aujourd’hui une place si importante dans sa vie.
« J’ai été contacté il y a deux ans par Riese & Müller, pour me proposer de mixer sur leur stand à l’Eurobike » nous raconte-t-il. En acceptant, il avait également une petite idée de la forme que pourrait prendre son cachet : « J’espérais me faire payer avec un vélo plutôt qu’avec de l’argent », ce qui s’est avéré possible, pour le plus grand plaisir de Marcel : « Un échange gagnant-gagnant, qui a totalement bouleversé mon univers de DJ comme de voyageur. »
Tout le nécessaire pour ses festivals dans une boîte de transport
Depuis, ce DJ de 41 ans se déplace sur son Packster 70 de Riese & Müller. Le principal avantage d’un vélo Cargo ? « Il n’y a pas une fonctionnalité particulière que j’aime plus que les autres », explique-t-il. « Je suis tout simplement satisfait de mon vélo Cargo à tous les niveaux : j’aime sa suspension comme son impressionnante autonomie. Et bien sûr, le fait qu’il me permette de transporter énormément de choses. »
Le vélo est devenu son compagnon roulant pour se rendre à ses événements. Quand il part mixer, il remplit la boîte de transport du Packster avec son sac à dos, une pile de disques, une clé USB, des écouteurs et des guirlandes lumineuses. « Lors des festivals, je peux également emporter ma tente, un sac de couchage et un matelas », ajoute Marcel. Il s’intéresse à la musique depuis sa plus jeune enfance : « Dans tous les sens du terme, j’ai toujours cherché à rester dans la danse. Plus jeune, le frère de ma première petite amie était DJ, et j’avais envie de devenir aussi cool que lui. Ça a été pour moi comme une révélation ».
Musique dansante entre l’electronica, le new jazz et la techno
Marcel mixe depuis plusieurs années aux quatre coins du monde. Il a notamment fait une tournée au Mexique l’été dernier. Sa musique est à la croisée de la techno, du downtempo, du new jazz et du hip-hop. « Mais en restant toujours dansante et propice à un voyage intérieur ». Raison pour laquelle Marcel ne mixe pas uniquement lors de festivals, mais aussi pour assurer l’ambiance de certains événements. « Il peut par exemple s’agir de mixer pour une quarantaine de personnes dans un club de yoga. Cela reste quelque chose d’assez confidentiel et de pas du tout commercial. »
À côté de son activité de DJ, il travaille au sein du département de l’université de Darmstadt en charge de l’événementiel, où il gère les programmations et les réservations. « Mes deux casquettes de DJ et de producteur se complètent à merveille ».
Une table de mixage sur un vélo Cargo
Pour lui, chaque trajet en Packster est une aventure, une « bonne vibe » comme il l’explique avec ses mots de DJ. Il doit parfois pousser l’autonomie de sa batterie dans ses derniers retranchements pour parcourir les 140 kilomètres qui le séparent de sa destination. Son vélo a également pu lui servir de support pour sa table de mixage lors d’une rave à Francfort. C’est sur son vélo Cargo qu’il se rend à toutes ses dates dans un rayon de 100 km. « Je n’ai pas de voiture, donc je prends le train pour les trajets plus longs ».
« Mais si j’avais une date à Berlin, je pense que je prendrais deux semaines de vacances pour m’y rendre à vélo ». Car ce qu’il aime aussi, c’est choisir les plus beaux trajets, qu’ils soient courts ou longs. « Je suis prêt à faire des détours pour voir de belles choses. J’aime découvrir de nouveaux itinéraires. Je me déplace comme je mixe : de manière intuitive, en quête d’aventure et de la prochaine surprise que la vie me réserve. »